Archive pour mars 2011
Dans mon rosier
Dans mon rosier
Se cache
L’infime rose
L’ardente
Qui s’offre
Douce et lointaine
Pleine de toi
Celle qui se révèle
La nuit ta proie
Et se rit au réveil
De mes peines
Et mes joies !
Maria Zaki (Inédit, 2011).
Commentaires :
Jacques Herman dit :
22/03/2011 à 22:13
Le langage de la rose naît du rosier et parle au coeur
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21/03/2011 à 12:02
bonjour Maria,
“Il n’y a pas de rose sans épines”dit un ancien proverbe!!!!!
Je surmonte mes peurs
Je surmonte mes peurs
Affronte mes démesures
Et te dis :
Introduis-moi
Dans les diaprures
De ton être
J’ai le sens de la révélation
Et le secret
Me remet dans l’ordre !
A la fois libres et captives
Tes merveilleuses teintes
Autrefois mises en orbite
Me frôlent à basse altitude
Prendrai-je le risque
De laisser mon âme se mêler
A leur force expressive ?
Maria Zaki (Inédit, 2011).
Commentaires :
Luc dit :
13/03/2011 à 20:39
La beauté de ce poème est dans ce qu’il décrit d’insaisissable : les diaprures de l’être, ses merveilleuses teintes…
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13/03/2011 à 18:03
Chère Maria j’ai eu une inclinaison naturelle pour ce beau poème et surtout pour la chute!!!
Si c’était moi, je répondrais : OUI
Familière de lui
Familière de lui
Etrangère à tout
Je me promène de nuit
Dans les couloirs de l’esprit
Quand ma folle sagesse
Se revêt de lui
Et qu’il devient un rêve
Sans pardon ni trêve
Je me réveille avant de choir
Sous l’emprise de son regard
Avant que ne me vienne
Le bon ou le mauvais espoir !
Maria Zaki (Le velours du silence, 2010).
Commentaires :
El Alaoui Saïd dit :
08/03/2011 à 10:05
J’aime beaucoup ce poème, il montre comment l’expression créatrice dans la langue poétique de Maria Zaki s’effectue. On ressent la présence d’une langue dans la langue…